RePan mise sur la durabilité régionale. En recyclant les poêles en bon état de la région et en réutilisant les poêles des clients, nous économisons les ressources et préservons l’environnement. D’une part, nous trions, en collaboration avec des déchetteries comme celle de la ville de Zurich, des poêles intactes et de bonne qualité qui ont été jetées dans la station de recyclage. D’autre part, nous acceptons les poêles de nos clients afin qu’elles ne soient pas jetées inutilement.
*Source : Tefal LCA “livre vert”, analyse du cycle de vie calculée par Quantis à Lausanne et les laboratoires ENSAM. Pour qu’une poêle Virgine soit comparable à une poêle avec un nouveau revêtement, RePan a adapté le calcul au nouveau revêtement et a exclu la phase d’utilisation du cuisinier. La marge vient du fait que des facteurs tels que l’origine de la poêle d’origine et l’angle de vue entre les ressources, l’écosystème, la santé et le réchauffement climatique peuvent être modifiés. 80-95% ou facteur 5-20 est énorme ! Où d’autre obtient-on une empreinte aussi faible avec un produit parfois même meilleur ?
Comme nous devons encore cuisiner et manger malgré les poêles jetées, elles sont généralement remplacées par de nouvelles poêles.
Cette consommation évitable s’accompagne d’une production qui consomme beaucoup d’énergie et qui nuit à l’environnement.
L’exploitation minière est particulièrement problématique, car elle perfore et érode les montagnes pour en extraire les métaux dont sont faites les poêles.
En dévastant des paysages entiers, l’exploitation minière perturbe l’habitat de nombreux animaux et plantes.
L’extraction des métaux a également des conséquences désastreuses pour les humains.
Outre les galeries proprement dites, l’extraction des métaux est l’une des industries les plus sales qui soient. Outre les colosses de machines, les transporteurs et les fonderies fonctionnant au pétrole, la réduction des minerais libère divers déchets toxiques tels que le dioxyde de soufre, les métaux lourds, les acides et les bases ainsi que les particules fines. Ils polluent l’air et se retrouvent dans les nappes phréatiques, ce qui nuit à la santé des personnes.
Les statistiques montrent qu’actuellement 30 % des métaux proviennent du recyclage. Mais pourquoi cela ne suffit-il pas ? Même si les métaux sont censés être impérissables, ils sont souvent jetés prématurément parce qu’ils rouillent ou se déforment. Les montagnes de vieux métaux doivent être collectées, transportées, séparées, traitées chimiquement, fondues, alliées, formées et coupées pour pouvoir être transformées en nouveaux produits.
Bien que ce processus nécessite moins d’énergie que l’exploitation minière, il représente une part considérable des 4,4 milliards de tonnes d’émissions de CO2 produites chaque année dans le monde. Pour réduire l’impact environnemental, nous devons améliorer le recyclage et réutiliser les produits usagés plutôt que de les gaspiller.
D’autres pratiques problématiques s’ajoutent aux problèmes mentionnés ci-dessus, liés à la fabrication des poêles. Comme les mines sont situées tout autour du globe et que les poêles vendues dans le commerce sont généralement produites en Asie, de longues distances de transport sont parcourues avant que les poêles ne trouvent leur place dans les cuisines suisses. La production et le transport des poêles sont donc globalement très gourmands en énergie et en CO2. Dans le contexte du réchauffement climatique et de la diminution des ressources, cette réalité représente un véritable défi que nous souhaitons relever. Nous préférons penser globalement, mais agir le plus localement possible.
Mais le téflon n’est-il pas toxique ?
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